newsletter avril 2017
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L’Intériorité Citoyenne : une notion pionnière
Depuis les années 2004, 2005, Thomas d’Ansembourg développe dans son travail la notion d’Intériorité Citoyenne [archive], qui a fait l’objet de son troisième livre sorti en 2008, toujours aux Editions de l’Homme : « Du Je au Nous – L’intériorité Citoyenne : le meilleur de soi au service de tous ».
TdA constate que ce qu’on appelait jusqu’à il y a peu le développement personnel est en fait un enjeu de santé publique et d’intérêt général.
La notion d’intériorité citoyenne s’est précisée dans son esprit par son travail d’accompagnement des personnes sur le chemin de la connaissance et pacification de soi. Elle se base sur les trois expériences suivantes
- Le travail de connaissance de soi (que TdA propose par l’approche de la CNV) permet d’abord de comprendre nos émotions, puis derrière elles nos sentiments et nos besoins fondamentaux (dégagés de nos envies et désir changeants), et enfin, au delà de nos besoins, notre élan de vie propre.
Le discernement de ce qui se passe en nous, de ce vers quoi nous tendons, de ce qui fait sens pour nous et que nous voulons vivre permet de se responsabiliser, de mettre en place ce qui est nécessaire pour se transformer et transformer sa vie sans accabler les autres (et donc en abandonnant la posture de victime, si pénible pour l’entourage, les rapport de force si habituels, ou les comportements agressifs).
- La personne qui s’implique avec suffisamment de profondeur dans ce travail de démantèlement de l’ego et d’alignement sur sa voie d’expansion, quitte ses enfer-mements et ses pilotages automatiques, découvre son élan créateur et se met systématiquement au service des autres et de la vie,
- La personne qui apprend à se pacifier devient pacifiante, par sa seule façon d’être indépendamment de ce qu’elle fait. Elle n’est pas passive. Il se révèle activement pacifiante par son attitude, notamment par la bienveillance, l’empathie, la patience et le goût de la collaboration qu’elle a pu développer en travaillant sur elle-même. L’empathie pour l’humain en soi est la clé de l’empathie pour l’humain en l’autre. L’apprentissage de la collaboration féconde entre toutes les parties de soi (par l’abandon des rapports de force) est la clé de l’apprentissage de la collaboration féconde avec les autres.
D’où ces formules que Thomas rappelle régulièrement dans ses conférences depuis des années et qui éclairent la dimension d’intérêt général du travail sur soi :
- Un citoyen pacifié est un citoyen pacifiant.
- Le développement dit personnel profond est la clé du développement social durable
- Pouvons nous envisager de changer notre rapport à la Nature autour de nous sans avoir appris à changer notre rapport à notre nature intime ?
- La maltraitance manifeste pratiquée à l’égard de la Nature n’est elle pas le reflet spectaculaire de la maltraitance clandestine perpétrée par chacun sur sa propre nature ?
Le développement dit personnel profond est la clé du développement social durable :
Dans son livre « Du Je au Nous – L’intériorité citoyenne : le meilleur de soi au service de tous », qualifié de visionnaire par le journaliste Maxence Layet (Psychologies), TdA propose un passage pionnier de l’individuel au collectif. Il rencontre ainsi et réponds de façon à la fois pragmatique et inspirée au reproche fait (parfois à très juste titre) au développement personnel de risquer d’être nombriliste ou narcissique. Cette notion recueille d’ailleurs aujourd’hui l’adhésion de nombre de nos contemporains qui réalisent que nous ne changerons rien sans nous changer nous mêmes.
TdA aime citer cette phrase attribuée à Paul Watzlawick : « Si l’on fait ce qu’on a toujours fait, on obtient ce qu’on a toujours obtenu ». Cela paraît évident. Mais ce qui est moins évident c’est ceci : comment faire autre chose si je pense de la même manière ?
Nous voyons que pour obtenir « autre chose » dans notre relation aux autres, à la vie, à la nature, aux enjeux de société cruciaux d’aujourd’hui, nous avons besoin de penser autrement. Et penser autrement nous demande d’apprendre à revisiter notre système de pensée et de croyance (en anglais : mindset), ce qui n’est pas confortable (raison pour laquelle si peu de gens s’attellent à cette tâche) et demande de développer une intériorité transformante (selon l’expression consacrée par TdA dans son livre et son travail).
Dans une prochaine contribution, plus d’info sur l’Intériorité Citoyenne.
Pour plus d'info : D. Gilkinet : secrétariat ACNV-BF asbl <acnv.bf.asbl@gmail.com>
Paf. 8 euros en pré-vente jusqu'au 12 avril et 10 euros sur place et gratuit pour les étudiants
Jeudi 20 avril à 20h, Auditoires des Sciences 01, LLN :
Conférence : Elargir notre vision sur les relations humain/animal pour oser de nouvelles pratiques éthiques et collaboratives de Marc Vandenheede, formation en éthologie vétérinaire, bien-être et éthique animal, Faculté de Médecine Vétérinaire, ULg
Alors que les "Lumières de la Raison" amenaient la société occidentale à considérer l'"animal non humain" comme un objet, l'Intuition entrait en résistance. Comment cet "objet de production" ou "d'expérimentation" pouvait-il également s'avérer "de compagnie"? Cette empathie ressentie face à la souffrance d'un animal n'est-elle que l'expression d'un "anthropomorphisme naïf"? Charles Darwin n'affirmait-il pas déjà que la différence entre l'humain et les (autres) animaux n'est pas une question de nature mais bien seulement de degré?
Les progrès scientifiques récents confirment cette vision. Des êtres vivants de plus en plus nombreux se révèlent capables de ressentir, d'apprendre, de s'émouvoir voire d'être conscients. Ces "êtres sensibles" sont le miroir de nos responsabilités, non seulement en matière de domestication mais aussi de "gestionnaire de la biosphère". La "Science du Bien-être des Animaux" et le concept d'"Une seule Santé" en sont notamment les enfants, et l'"Éthique Animale" vient en baliser les étapes. Ce processus de réflexion et d'action doit nous amener à questionner les modalités d'interaction et de collaboration avec ces animaux dont nous partageons des milliers d'années d'histoire. Gageons que cette évolution nous mène vers un mieux-vivre ensemble, dans le respect des intérêts propres à chaque être vivant!
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Vendredi 21 avril 9h-17h30, Bibliothèque des Sciences et Technologies, Place Louis Pasteur, LLN :
Atelier Pour élargir notre vision sur les relations humain/animal, inspiré du travail qui relie de Joanna Macy
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Vendredi 21 avril à 20h, Auditoires des Sciences 02, LLN :
Conférence : Apprendre à collaborer avec le monde animal:
un changement de regard accessible à tous, de Anna Evans,
Chirurgienne vétérinaire explorant les diverses formes de communication avec les animaux
Caché dans nos adultes adaptés au monde dans lequel nous sommes nés, subsistent des enfants silencieux qui autrefois, se sont émus du sort réservé à un animal et ont, comme lui, été emportés par des émotions qui ont dicté leurs comportements de rage ou de joie. Grandir, c’est accepter de changer de repères, de priorités. Ce n’est pas se nier. Revenir à l’être sensible, à notre part innée, si proche de l’animal que plus on scrute les différences et moins on les discerne, ne nous diminue pas. Au contraire, diriger notre vie en faisant consciemment une place à la sentience, cette faculté qui se distingue de la raison, offre des avantages inestimables. S’accepter dans cette dimension nous sort de l’obligation de violence vis-à-vis de l’animal perçu comme un « alien » et de sa conséquence funeste, la solitude.
Nous sommes tous capables de tourner notre regard vers cette aventure intérieure, au-delà des limites mentales et des croyances ancestrales, pour nous engager dans la co-création d’une autre manière d’être au monde à partir de l’ensemble de nos facultés. Mieux, il existe des outils à notre portée pour soutenir cette mutation, qui ne peut qu’être d’abord intérieure. Mon parcours de praticienne m’a conduite hors des sentiers battus de la science dont j’ai été nourrie vers une démarche expérientielle, que j’ai voulu réconcilier avec la compréhension intellectuelle. En s’appuyant sur ces outils, je sais que nous pouvons redonner à l’être sensible une parole qui lui rend sa dignité, que nous pouvons vivre dans la profonde sécurité de se sentir reliés aux autres formes de vie, et qu’il est à notre portée d’orienter sur cette base nos actes sur terre vers une action qui a du sens.
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Samedi 22 avril 10h-12h30, au PointCulture, Place Galilée Une initiative du PointCulture LLN (thématique Nature/Culture)
Film et conférence de Guillaume Corpard : « My life is a cage »
PointCulture vous invite à une projection du film My life is Cage qui souhaite sensibiliser le public à l’exploitation animale et aux industries de la viande. La projection sera suivie d’une conférence donnée par Guillaume Corpard, réalisateur du court-métrage. Il abordera différents points tels que le bien-être animal, l’environnement ou la santé.
http://www.mylifesacage.com/le-projet/
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Samedi 22 avril 13h30-18H00, Bibliothèque des sciences et technologie, Place Louis Pasteur, LLN :
Atelier Pour Elargir notre vision sur les relations humain/animal,inspiré du travail qui relie de Joanna Macy
Les 21 et 22 avril : Exposition sur les abeilles :
Être Abeille (To be a Bee) de Myriam Lefèvbre
Lieu : dans les salles d'ateliers (BBST et salle d’étude des sciences)
Plus d’infos et inscriptions (obligatoires)
contact: Aline Wauters - aline@maisondd.be 010/473959 - www.maisondd.be
Participation volontaire pour chaque activité,
sauf pour la conférence vendredi soir – PAF: 5€
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Une initiative de La Maison du Développement Durable en collaboration avec ScienceInfuse-UCL, le PointCulture de LLN, Le Centre culturel d’OLLN et le CEFA asbl
Avec le soutien de Chapitre.be, la Ferme équestre, Librairie Academia, Terr’éveille,
asbl les Fougères, Planète Vie
Dans le cadre de l’année de l’aventure scientifique à l’UCL
et du thème Nature/Culture de PointCulture
Bibliothèque des Sciences et Technologies
Atelier: Elargir notre vision sur les relations humain/animal
Proposition d’un atelier inspiré du travail qui relie de Joanna Macy
Pour cette journée, nous avons invité une dizaine de chercheur.e.s académiques et des professionnel.le.s de terrain qui ont pris ces questions à cœur depuis de nombreuses années. Ils et elles sont invité.e.s à venir vivre l’entièreté du processus au même titre que tout le monde, mais ils et elles portent en conscience l’objectif de la journée et viennent avec l’intention claire de nourrir le collectif de leurs connaissances et expériences en la matière. Les dispositifs que nous choisirons leur permettront d’offrir leur expérience, sans pour autant prendre toute la place.
Public attendu : 120 personnes (étudiant.e.s, professeur.e.s, assistant.e.s, chercheur.e.s et professionnel.le.s de terrain)
Lieu : Bibliothèque des Sciences et Technologies, Place Louis Pasteur, LLN
- Intro à la journée avec le travail qui relie inspiré de Joanna Macy,
Invitation à vivre un processus
- Première étape : Affirmer, partager notre Gratitude pour le monde animal.
Regard sur ce qui nous touche, nous émerveille, nous fait grandir, nous nourrit dans la relation aux animaux au niveau symbolique, affectif et complémentaire: animaux de compagnie, chiens guides d’aveugle, chiens de berger, thérapies avec le cheval, mais aussi les peluches, la relation symbolique profonde au monde animal, la relation des peuples nomades avec leur troupeaux, les réserves naturelles, les animaux sauvages, la relation à la vache sacrée en Inde, etc.
- Deuxième étape : Regarder en face, reconnaître, prendre le temps de partager et d’honorer notre peine pour le monde (en particulier par rapport aux animaux).
Regard sur ce qui nous touche, nous bouleverse, nous laisse impuissants, en colère, tristes, face à ce que nous savons/voyons/comprenons de la dégradation de notre respect face au monde animal (élevage industriel, brutalité gratuite, enfermement et non-respect des besoins fondamentaux, chasse inconsidérée, etc.)
- Troisième étape : Changer sa vision, voir avec des yeux neufs. Ecouter, voir, expérimenter de nouvelles manières d’envisager notre relation personnelle et sociétale aux animaux.
Médiation animale, communication et solidarité inter-espèces, compréhension de l’interconnexion de tout le vivant, émergence de pratiques et d’éthiques nouvelles, etc.
- Quatrième étape : Passer à l’action, oser agir autrement pour rester cohérent avec nos compréhensions/ressentis et valeurs profondes.
Un temps pour intégrer les 3 étapes, et se proposer de nouvelles actions (soutenir ce qui existe et qui va dans le sens de la vie ; se joindre à des mouvements (ou en créer) pour empêcher/freiner plus de destruction ; changer ses propres comportements alimentaires, consuméristes, relationnels ; se former à de nouvelles approches favorisant la collaboration/communication avec le monde animal ; informer sur ce monde en changement…)
- Parole de conclusion par Yvan Beck (vétérinaire, fondateur de Planète Vie)
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Liste des chercheur.e.s académiques et des professionnel.le.s de terrain
qui viendront enrichir ce processus
Anna Evans: vétérinaire + exploration communication avec les animaux
Carine Thiran: vétérinaire + travail avec les chevaux
Gauthier Chapelle: biologiste – biomimétisme
Javier Paniagua: juriste - droit animalier
Marc van Overscheld: agriculteur-éleveur de bovins
Marie Anne Schelstraete: enseignante et chercheuse en Psychologie /certificat hippothérapie UCL
Myriam Lefèbvre: biologiste/étude sur les abeilles
Patrick Guilmot: hippothérapeute (Pleine conscience)
Séverine Lagneaux: anthropologue (relation éleveur/animal)
Véronique Servais: sociologue-anthropologue
Yvan Beck: vétérinaire – Planète vie
Garance Van der dussen : osteopathe pour animaux et médiation animale Barbara Fraipont - thèse sur la zoopoétique dans la littérature flamande
Samedi 22 avril 10h-12h30
PointCulture de LLN
Film et conférence de Guillaume Corpard
autour de : « My life is a cage »
Une initiative du PointCulture LLN http://lln.pointculture.be/
+/- 2h30 d’intervention : 13 minutes de projection d’introduction avec des interviews de Jane Goodall, Mathieu Ricard, etc. + projection du court métrage de 18 minutes + 1h15 de conférence avec power point sur santé, droit et environnement.
Public attendu : ouvert à tou.te.s, max. 50 personnes
Lieu : PointCulture Louvain-la-Neuve, Place Galilée 9, LLN
12h30-13h30 : Lunch/auberge espagnole
Salle d’étude des sciences
Atelier : Elargir notre vision des relations humain/animal
Une initiative de la MDD
Proposition d’un atelier inspiré du travail qui relie de Joanna Macy
Public attendu : ouvert à toute personne intéressée par le processus, sans l’obligation d’avoir participé à la matinée, max. 50 personnes
Pour ceux et celles qui ont suivi la proposition de la matinée, cet après-midi leur permettra, entre autres, d’approfondir, de mettre des respirations, des temps de digestion, des temps de partage, autour de l’info amenée par la proposition de Guillaume Corpard le matin.
Lieu : Bibliothèque des sciences et technologies, place Louis Pasteur
Programme :
- Intro à l’atelier avec le travail qui relie de Joanna Macy, invitation à vivre un processus
- Première étape : Affirmer, partager notre Gratitude pour le monde animal.
Regard sur ce qui nous touche, nous émerveille, nous fait grandir, nous nourrit dans la relation aux animaux.
- Deuxième étape : Regarder en face, reconnaître, prendre le temps de partager et d’honorer notre peine pour le monde (en particulier par rapport aux animaux).
Regard sur ce qui nous touche, nous bouleverse, nous laisse impuissants, en colère, tristes, face à ce que nous savons/voyons/ comprenons de la dégradation de notre respect face au monde animal.
- Troisième étape : Changer sa vision, voir avec des yeux neufs. Ecouter, voir, expérimenter de nouvelles manières d’envisager notre relation personnelle et sociétale aux animaux.
Médiation animale, communication et solidarité inter-espèces, compréhension de l’interconnexion de tout le vivant, émergence de pratiques et d’éthiques nouvelles, etc.
- Quatrième étape : Passer à l’action, oser agir autrement pour rester cohérents avec nos compréhensions/ressentis et valeurs profondes.
Un temps pour intégrer les 3 étapes, et se proposer de nouvelles actions (soutenir ce qui existe et qui va dans le sens de la vie; se joindre à des mouvements (ou en créer) pour empêcher/freiner plus de destruction; changer ses propres comportements, se former à de nouvelles approches favorisant la collaboration/communication avec le monde animal…
- ConclusionsListe des chercheur.e.s académiques et des professionnel.le.s de terrain qui viendront enrichir ce processus :
Anna Evans: vétérinaire + exploration communication avec les animaux
Carine Thiran: vétérinaire + travail avec les chevaux
Javier Paniagua: juriste - droit animalier
Marc van Overscheld: agriculteur-éleveur de bovins
Myriam Lefèbvre: biologiste/étude sur les abeilles
Patrick Guilmot: hippothérapeute (Pleine conscience)
Séverine Lagneaux: anthropologue (relation éleveur/animal)
Véronique Servais: sociologue-anthropologue
Yvan Beck: vétérinaire – Planète vie Garance Van der dussen : osteopathe pour animaux et médiation animale
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Plus d’infos
contact: Aline Wauters - aline@maisondd.be 010/473959 - www.maisondd.be
Participation volontaire pour chaque activité,
sauf pour la conférence vendredi soir – PAF: 5€
***
Une initiative de La Maison du Développement Durable
en collaboration avec ScienceInfuse-UCL,
le PointCulture LLN, Le Centre culturel d’OLLN et le CEFA asbl
Avec le soutien de Chapitre.be, la Ferme équestre, Librairie Academia,
Terr’éveille, asbl les Fougères, Planète Vie
Dans le cadre de l’année de l’aventure scientifique à l’UCL
et du thème Nature/culture de PointCulture
Projection du film En quête de sens suivie d’une discussion sur l’implication des jeunes, menée par les étudiants des kots à projets de la Plateforme du Développement Durable.
Dans le cadre de la thématique Nature/Culture, nous vous proposons la projection du film En quête de sensqui raconte le road-trip improvisé de deux amis d’enfance qui cherchent à comprendre ce qui a conduit aux crises actuelles et d’où pourrait venir le changement.
A travers les messages d’activistes, de biologistes, de philosophes ou de gardiens de traditions anciennes, Marc de la Ménardière et Nathanaël Coste nous invitent à partager leur remise en question, interrogent nos visions du monde et présentent les alternatives qui construisent déjà le monde de demain. Un voyage initiatique qui redonne confiance dans notre capacité à porter le changement en nous-mêmes, et dans la société.
C’est en partant de ce film illustrant deux jeunes en plein voyage initiatique que PointCulture a souhaité obtenir le point de vue des étudiants de LLN. Au travers des kots à projets, ils ont choisi de s’investir pour la protection de l’environnement, pour la valorisation de comportements moins consuméristes et pour le renforcement de la citoyenneté, et ce, malgré une constante sollicitation au mode de vie actuel peu préoccupé par l’écologie et l’humain.
La projection du film sera donc suivie par une rencontre avec les kots à projets de la Plateforme du développement durable qui rassemble 8 kots-à-projets écoresponsables (Kot Planète Terre, Kot Oxfam, Kap Vert, Dévlop’Kot, Kout’Pouce, Oasis, Kap sur l’avenir et Dépakot). Les étudiants aborderont le sens que leurs actions ont pour eux au quotidien.